La consommation excessive de
pétrole entraîne une augmentation de la concentration de gaz à effet de serre,
ce qui contribue aux dérèglements climatiques. Il s’agit d’une énergie
fossile non renouvelable, ce qui pourra entraîner une pénurie de pétrole à
terme. De plus, l’évolution du coût
du pétrole augmente de manière constante.
Pour consulter la suite de l'article, merci de cliquer ici.
Pour consulter la suite de l'article, merci de cliquer ici.
Le Brésil s'affirme comme un gros producteur de biocombustibles, il y a beaucoup à faire dans ce domaine, en particulier pour des PME européennes disposant de technologies de pointe en la matière.
RépondreSupprimerMerci pour votre commentaire. Effectivement il existe de nombreuses opportunités dans le domaine des biocarburants. Les entreprises brésiliennes connaissent une pénurie de main d'oeuvre très qualifiée.Cela peut représenter des opportunités pour les entreprises européennes, notamment en transfert de technologie et de savoir-faire.
SupprimerSeul problème: si on prend la quantité de fuel nécessaire à la flotte actuelle (qui croît en moyenne de 5% par an), la ressource en biocarburant risque de ne jamais pouvoir rattraper le niveau de production actuel en fuel fossile.
RépondreSupprimerSi on regarde ce qui nous reste, on a l'hydrogène, qui pose des problèmes de densité (gros réservoirs => traînée donc consommation) et de fuites, et... le nucléaire, seule énergie à avoir une densité d'énergie disponible par unité de masse supérieure aux carburants carbonés.
Beaucoup de boulot en perspective pour les instituts de recherche, et beaucoup d'opérations de communication à venir.
Je vous remercie pour votre commentaire. En effet, il reste encore beaucoup de travail aux instituts de recherche pour permettre de produire suffisamment de biocarburants. Toutefois, le développement des biocarburants issus de l'huile de cuisson est intéressant, notamment pour la Chine, grand consommateur d'huile de cuisson.
Supprimer